J'ai mal à ma mère. J'ai mal à la mère que je suis. Ou que je ne suis pas. Le titre est venu tout seul, mais en cherchant sur le net , j'ai découvert que je n'en suis pas l'auteure, pourtant, cette expression m'habite à 100%. Toutes les fibres de mon corps crient. C'est un mélange de peine, de tristesse et de colère qui m'étouffent. Me serrent à la gorge. Je n'ai pas eu beaucoup de temps pour comprendre, pour réfléchir, mais ce soir, j'ai mal. J'ai le réflexe de chercher ce que j'ai fait, ou pas fait, pour en être là. L'incompréhension et la culpabilité sont les premiers sentiments qui me viennent. C'est fort, laid et puissant, tout aussi fort, puissant et beau que l'amour que je porte pour mes enfants. Ce soir, je ne sais pas vraiment quoi faire, quoi dire, quoi écrire... Je serais probablement mieux de prendre un bain bien chaud avec un livre pour tout oublier, laisser la fatigue m'envahir et me coucher tôt....
Argggh, décidément ! ... Reposez vous tous...
RépondreSupprimerPauvre puce ! et pauvre famillebooh ... !!! Il reste quand même le soleil et le jardin. Reposez vous bien et profitez quand même bien de cette pause !
RépondreSupprimerbizz
On reste zen... et on prend du repos.
RépondreSupprimerLa vie ne nous envoie pas ça pour rien. Ça fait un peu ésotérique, (et on n'a peut-être pas besoin d'ésotérique quand notre petite a de la fièvre) mais je crois qu'il y a du vrai là-dessous. Zzzzzzennnnnn.
Argggh + Zennn = famillebooh!
RépondreSupprimerMerci, avec vos commentaires, j'arrive à ne pas virer plus folle que je le suis déjà et à définir avec trois mot ma réalité...