Mes mercis à... Chantal Jolis!
Chantal Jolis PHOTO: DAVID BOILY, LA PRESSE
Avec mon nouvel horaire de travail, j'ai beaucoup de difficulté à (arriver?) publier un billet pour mes Vendredi merci, alors voici maintenant Mes mercis à... Si cela arrive un samedi ou un dimanche, ça sonne moins faux!
Je viens de voir une entrevue avec Chantal Jolis à Tout le monde en parle et je suis terriblement émue et touchée par son discours, son histoire et la belle femme forte qu'elle est.
Déjà, son intelligence et sa personnalité me plaisaient quand je la suivais à la radio, mais ce soir, la voir sourire pour ne pas pleurer (un truc que je pratique, mais avec moins de succès), l'entendre dire des phrases lourdes de sens, parler d'une maladie invisible (comme la dyspraxie), de son questionnement sur le suicide (inévitable en période de crise intense), du désir de trouver sa place comme individu ayant une différence (...), etc..
Merci de vous afficher, de sortir de chez vous, de prendre la parole même si cela semble si difficile, d'avoir choisi de vivre et de nous partager cet épreuve, mais aussi pour votre goût au bonheur qui vous habite encore. Ça fesse, ça réveille et ça donne le goût de mordre dans la vie (après quelques larmes).
Mes mercis Mme Joly!
Aujourd'hui, vous avez fait une différence dans ma vie.
Je suis extrêment touché par votre témoignage ce soir a tout le monde en parle. Ma grand mere a été dignostiqué et j'ai suivis jour apres jours son état ca fait vraiment mal au coeur. Les gens ne doivent pas avoir cette maladie. Longue vie et entourez vous de gens qui vous aiment, ils seront vous le rendre. Bravo et bon courage
RépondreSupprimerLe terme maladie invisible m'a aussi frappé, mais pas pour les mêmes raisons. Pour moi, le parkinson n'est pas invisible (peut-être au début)... il y a des signes cliniques : incoordination, tremblements, trouble de posture, ...
RépondreSupprimerJe suis toutefois d'accord pour dire qu'il s'agit d'une femme forte et courageuse. Elle est vivante: elle a encore des rêves!
Un propos marquant de son entrevue: elle disait qu'il y avait pire qu'elle et elle a raison. Voir le beau, ce qu'on a plutôt que ce que l'on a pas. Ne jamais être une victime...
C'était très touchant de la voir, prématurément vieillie mais avec la même étincelle d'intelligence dans l'oeil et le goût exprimé d'avoir un chum et de se marier. J'ai beaucoup aimé son entrevue et Guy A. Lepage a été très humain dans son écoute et ses questions.
RépondreSupprimerUne de mes amies, mère d'un ado que j'ai vu pousser, a le Parkinson. Et hier soir, alors que je regardais moi aussi Tout Le Monde En parle avec Chantal Jolis, le mari de l'amie m'a annoncé que celle-ci était à un stade de démence avancé...
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